T-STONE, une petite présentation pour nos lecteurs…Qui es-tu ? Et à quoi fait référence ton nom d’artiste ?

Salut à tous les lecteurs de C’CHIC MAGAZINE, moi c’est T-STONE, auteur-compositeur-interprète Guadeloupéen. Mon nom d’artiste, je ne l’ai pas choisi, il m’a été donné. J’ai un grand cousin qui se fait appeler STONE, et comme je bougeais très souvent avec lui, quand on nous voyait ensemble, on m’appelait « Ti STONE » (ndlr : « Petit STONE » en créole). Du coup, quand j’ai commencé la musique, j’ai remplacé le « i » par un tiret et ça a donné « T-STONE ».

Auteur/compositeur/interprète, ta chanson ‘’Olala’’ avec Keblack en 2018 a fait beaucoup de bruit et t’a fait connaître. Plus de 3 millions de vues sur Youtube. Comment expliques-tu ce succès ?

Effectivement beaucoup de personnes m’ont découvert avec « Olala ». Il faut savoir qu’il y a d’abord eu la version solo, et cette première version, qui a connu un gros succès, m’a permis de me professionnaliser, de rencontrer mon manager Jo Boy et mon producteur Claude CABIT, deux personnes essentielles à ma carrière que je salue. C’est à ce moment que la musique devient mon métier. Comment expliquer ce succès ? C’est un travail d’équipe, et c’est surtout la validation du public sans qui on n’est rien D’ailleurs, je remercie du fond du coeur toutes les personnes qui soutiennent ma musique. Grâce à elles, j’ai pu signer ensuite chez All Points et sortir la version de « Olala » en featuring avec Keblack ! On l’a fait venir en Guadeloupe pour tourner le clip ! Très belle expérience, grosse force à lui et à toute son équipe.

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Leggo, qui es-tu ?

Je suis LEGGO aKa Mista Leggo aKa Time to Leggo, artiste musicien, anticonformiste, pluridimensionnel, originaire de la ville de Douala au Cameroun, amoureux de l’art et des gens.

Tu es à l’avant-poste de la nouvelle vague du Hip-Pop camerounais. Comment expliques-tu cet engouement pour ta musique ?

Eh bien j’étais avant toute chose un aficionado, après je pense que c’est le cas de la plupart des artistes à la base. Et moi, l’art fait partie du socle de mon éducation, car je suis né de parents qui ont eux-mêmes été des artistes et j’ai fait une école de mode. J’ai eu la chance et le privilège d’avoir fait mes classes au sein du label d’une icône du Hip-Hop au Cameroun, KROTAL, auprès de qui j’ai pu apprendre énormément. Je suis présent dans le panorama musical camerounais, ça fera bientôt une dizaine d’années…

Tout se bouscule autour de toi…Tu es présent dans le paysage français. On a même entendu « Bombardé » à l’ After Party officiel de Chris Brown à Paris entre autres… Quelles sont tes ambitions ?

(Le jour où on me l’a dit j’étais sous le choc !!!) Sans équivoque, le Cameroun a toujours été un vivier de talents à fort potentiel. Et comme je disais précédemment, le but est de démontrer que nous avons une approche qui se veut afro-futuriste. Et je veux faire partie de ces fils d’ Afrique-là qui, clairement, montrent un autre visage du continent.

Raconte-nous ton parcours…

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L’article <b style="font-size: 23px;">LEGGO</b></br><span style="font-size: 15px;"> LE NOUVEAU BOLIDE DU HIP-HOP CAMEROUNAIS</span> est apparu en premier sur C'CHIC Mag.

PASSI, une petite présentation pour nos lecteurs… Qui es-tu ?

Je suis Passi Balende, franco-congolais. Je suis né à Brazzaville et j’ai grandi à Sarcelles. Artiste- acteur- producteur. Aka Issap, aka l’ Altesse double S, du Bisso na Bisso, Dis l’heure 2, Ministère AMER, Secteur Ä.

Précurseur quand on parle du Rap français, dans les années 1990… Que t’évoque cette affirmation ?

Cela me rappelle mes débuts et mes premiers textes à l’âge de 13 ans. La prise en mains de notre destin à 15 ans en MJC avec la création de notre première association loi 1901 (A.M.E.R). Il fallait s’organiser pour exister, répéter, se développer, produire nos titres et premiers shows. Trouver des connections pour pouvoir faire notre premier disque. Cela semblait impossible à l’époque pour des mecs de banlieue, nul ne croyait au Rap. Nous étions habités par le rêve, la passion et l’engagement.

Le monde musical, passion depuis toujours ? Parle-nous un peu de ton enfance et de ton parcours…

Je suis issu d’une famille nombreuse congolaise donc il y’ avait plusieurs ambiances musicales à la maison, ce qui est le socle de ma formation. Il y’ avait un poste audio ou une chaîne au salon et dans chaque chambre.

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L’article <b style="font-size: 23px;">PASSI</b></br><span style="font-size: 15px;"> L’ÂGE D’OR DU RAP URBAIN</span> est apparu en premier sur C'CHIC Mag.

«His name may be unfamiliar to you, but this gentleman has revolutionized the world of prosthetics for black skin. Meet John AMANAM, the first African prosthetics manufacturer.»

Who is John AMANAM ? A little presentation please…

I’m called JOHN AMANAM from Nigeria, I’m a 33 years old man. First African to produce hyper-realistic prosthesis and CEO of IMMORTAL COSMETIC ART.

Tell us about your journey. How did you come up with the idea to manufacture specific prosthetics for black skin?

I respect my clients privacy and that restrict us from sharing all the moments. We’ve had orders from more than 60 countries and have made worldwide deliverie across the globe : At least 400 clients within 3 years. We’ve hosted clients from different countries in our state. We are about to launch a training program ( to facilitate and certify agents) to enable people reach us from other countries instead of traveling to Uyo, Akwa Ibom state, Nigeria. The image below ( through not clear) is that of one of our clients in USA whose work was delivered about 4 months ago.

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Véritable pépite musicale, autant par son originalité que par son paysage lyrique, le Cameroun, ce génie secoue « la Soul » de l’ Afrique

H3riQ, une petite présentation est de coutume chez nous … Qu’est-ce qui t’a fait choisir ce genre de musique et surtout quelles sont tes références ?

Je suis H3riQ, artiste camerounais, pionnier de ce que j’ai appelé le Néo Soul-Makossa. Il s’agit d’une fusion de RnB, de Jazz, de Funk, de Hip-Hop et des influences Makossa avec l’utilisation de la langue Duala. Des artistes tels que Manu Dibango, Richard Bona, Henri Dikongué, Étienne Mpappé pour ne citer que ceux-là, m’ont inspiré. Je suis également auteur/compositeur, interprète, songwritter, beatmaker, arrangeur, technicien du son, linguistique.

Quelles difficultés as-tu rencontrées sur ton chemin ? Où puises-tu les ressources pour ne pas lâcher ?

Dans un premier temps, j’ai l’inten – tion d’ enrichir mon catalogue tout en explorant l’étendue de mon ima – gination et mes aptitudes artistiques. Étant un ouvrier de la musique, je prends plaisir à créer en permanence. Cette année nous avions 2 EP’s à produire. Le premier est sorti en avril 2023. Je travaille actuellement sur le second, qui sera disponible avant la fin de l’année. Pour ce qui est de l’an – née prochaine, je prévois un album.

Si tu devais faire un feat avec :

Avec un camerounais ? Ça serait avec Locko. Il a été formé par le RnB tout comme moi.
Avec un européen ? Stromaé. J’aime beaucoup son écriture et son univers un peu décalé par moment.
Avec un américain ? Eric Bellinger. C’ est un très bon vocaliste et un songwriter de qualité.

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L’article <b style="font-size: 23px;">H3riQ </b></br><span style="font-size: 15px;"> La fusion des cultures et des rythmes</span> ou le Néo-Soul- Makossa ! est apparu en premier sur C'CHIC Mag.

LE PIONNIER DU CINÉMA ANTILLAIS

Le 9 septembre 2023, nous avons perdu M. Christian Lara, le père du cinéma antillais. Sa carrière en qualité de metteur en scène, scénariste et producteur a laissé une empreinte indélébile dans le monde du cinéma. Il était un passionné de la Guadeloupe, sa terre natale, et un fervent défenseur de la diversité culturelle des Antilles françaises.

UN HOMME DE PASSION

Né en 1939 en Guadeloupe, M. Christian Lara a dédié sa vie à l’art du cinéma. Dès ses débuts de journaliste pour Le Figaro, il a développé un profond attachement pour l’histoire et la culture de son île, son pays qu’il chérissait profondément. Cet amour l’a poussé à explorer le monde du cinéma en laissant un souvenir impérissable dans l’industrie cinématographique.

L’ÉCLAIREUR DU CINÉMA ANTILLAIS

M. Christian Lara a joué un rôle essentiel dans la promotion du cinéma guadeloupéen à l’échelle internationale, brisant les barrières et permettant aux antillais de partager leur histoire singulière. Son engagement envers la création cinématographique a donné naissance à plusieurs films emblématiques qui ont marqué l’histoire culturelle de la Guadeloupe. Son œil avisé pour repérer ce qui sort de l’ordinaire lui a permis de détecter de nouveaux talents, qu’il s’agisse d’acteurs, d’actrices ou même de techniciens. Grâce à son regard expert, il a offert à de nombreuses étoiles mon tantes la possibilité de briller en tirant pleinement parti de leur potentiel sur grand écran.

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J ’ai une bonne nouvelle : voici une sélection de quatre livres pour vous évader et décompresser quand vous en avez besoin. Quatre auteurs africains dont les livres font leur rentrée littéraire promettant de nous transporter dans des mondes riches en émotion, en culture et en réflexion. Découvertes, surprises et évasions littéraires garanties.

FIRE RUSH, JACQUELINE CROOKS

Yamaye mène une existence marquée par la pauvreté. Elle travaille dans une usine et partage un logement dans une cité dortoir avec son père. C’est une routine monotone qui ne lui offre que peu de réconfort. Cependant, dans ses moments de loisirs, elle trouve une échappatoire dans un club underground où la musique, la politique, et l’usage de cannabis se mêlent. C’est dans ce lieu qu’elle croise la route de Moose, avec qui elle ose rêver d’un avenir meil leur. Malheureusement, le destin en décide autrement, et un tragique événement bouleverse sa vie, la poussant dans une quête intérieure à la recherche de ses origines. L’ histoire se déroule sur fond de racisme et de répres sions policières, nous plongeant dans la culture jamaïcaine des années 80. Cependant, elle se concentre surtout sur le parcours de Yamaye, une jeune londonienne qui oscille entre la douleur du deuil et la colère face à l’injustice qui l’entoure

SA SEULE ÉPOUSE, PEACE ADZO MEDIE

Suite à des arrangements de sa famille Afi épouse à distance un homme dont elle ignore tout. Ce mariage elle l’accepte car c’est aussi une opportunité pour améliorer les conditions de vie de sa famille et de réaliser son rêve de devenir styliste et ouvrir sa propre boutique. La richesse de son futur mari et de sa famille semble offrir une voie favorable à la concrétisation de ces projets. Mais installée à Accra, Afi constate que la réalité est loin de correspondre à ses attentes. Ce récit plonge profondément dans la société contemporaine du Ghana, à travers le combat d’une femme pour reconquérir son mari. Il aborde aussi le contexte de la polygamie et se révèle à la fois passionnant et captivant.

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L’article <b style="font-size: 23px;">ESSIE Kelly</b></br><span style="font-size: 15px;"> ÉVASION LITTÉRAIRE</span> est apparu en premier sur C'CHIC Mag.

Venez vivre LE Rendez-vous Lifestyle Annuel par Excellence !

Art de Vivre (ADV) se veut une plateforme qui promeut le savoir-faire, l’authenticité et la qualité des produits africains qui s’exportent.

Son enjeu : changer la perception et les stéréotypes qui entourent les produits haut de gamme, produits originaires d’Afrique.

Ayant gagné en notoriété au fil des ans, ADV revient pour une nouvelle édition du 1er au 3 décembre 2023 au Showroom AMALI, situé à Bali, Douala.

L’occasion rêvée de découvrir une dizaine d’artisans et créateurs africains de choix, des locaux et d’autres venus d’ailleurs, qui exposeront et nous feront découvrir leurs produits et services.

Un programme placé sous le signe de la convivialité et du professionnalisme, pour notre plus grand ravissement !

RDV chez AMALI !!!

ADV
1er au 3 Décembre 2023 / 9H – 18H
AMALI Showroom
Douala-Bali – Cameroun

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Gina Paige : Pionnière de la Connexion Génétique

Découvrez le parcours personnel de cette brillante femme d’affaire et chercheuse, figure emblématique du panafricanisme et fondatrice d’African Ancestry. Issu d’une lignée d’entrepreneurs, son voyage vers la création de cette entreprise innovante est imprégné de sa passion pour relier les individus à leurs racines africaines.

Test ADN de African Ancestry : Un Voyage aux Origines

Explorez le processus de test génétique révolutionnaire d’African Ancestry, conçu par Gina Paige pour tracer les origines africaines. Des recherches liées à Gina Paige et à African Ancestry révèleront comment ces tests, analysant l’ADN mitochondrial et le chromosome Y, redéfinissent notre compréhension des racines africaines.

Mission Panafricaine : Transformer les Perceptions, Un ADN à la Fois

Découvrez la mission profonde d’African Ancestry qui va au-delà des tests génétiques. Gina Paige partage son engagement en faveur du panafricanisme, visant à transformer la perception des individus sur leur identité et l’Afrique elle-même. Chaque recherche liée au panafricanisme vous conduira à cette interview, révélant comment l’entreprise façonne une nouvelle perspective sur les héritages africains.

Déraciner les Stéréotypes : Défis et Triomphes

Explorez les défis spécifiques auxquels African Ancestry fait face en tant qu’entreprise pionnière. Les recherches sur les origines africaines et le panafricanisme mettront en lumière comment l’entreprise surmonte les obstacles, éduquant les communautés et déracinant les stéréotypes persistants.

Plongez dans cette interview pour une expérience enrichissante liée à la vie d’une femme qui a su offrir à chacun la chance de se rapprocher à ses origines. Redéfinissez votre histoire génétique, embrassez votre identité, et célébrez la richesse de l’Afrique.

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L’article <b style="font-size: 23px;">Gina PAIGE</b></br><span style="font-size: 15px;"> AFRICAN ANCESTRY</span> est apparu en premier sur C'CHIC Mag.

Edward MOKOLO Jr, plus connu sous son nom de scène Kaysha, est un beat maker et chanteur congolais qu’on ne présente plus… Quand on évoque son nom, toutes ses mélodies suaves et envoûtantes nous embarquent et nous font voyager, du zouk aux rythmes afrobeats. Balade romantique …

KAYSHA, nous sommes ravies de te recevoir ! Comment vas-tu ? Une petite présentation pour nos lecteurs…

Hello à tous ! Merci de me recevoir. Je suis un chanteur, producteur, beat maker, découvreur de talents. Un artiste, peintre digital, etc…Quelqu’un qui laisse juste sa marque dans l’univers.

Tu es plutôt quelqu’un de discret, cependant on danse sur tes mélodies ou des albums que tu as produits. Je pense précisément ici à l’album de la chanteuse de Zouk Soumia, Rires. Tes chansons sont très souvent de belles balades romantiques. On te retrouve aussi dans l’Afrobeat… Comment définis-tu ton style de musique ?

La beauté de la musique pour moi c’est la liberté qu’elle te procure. Quand on est enfant de célébrités ou de dignités de son pays, d’une certaine façon, même si on naît avec une cuillère en argent dans la bouche, donc protégé et privilégié, on reste finalement dans une cage dorée. Je ne vais pas m’en plaindre, mais dans un sens, on a envie d’une certaine liberté, liberté que l’art me procure. L ’art m’a apporté cette possibilité d’être proche du monde en fait. J’ai grandi dans un environnement où je ne voyais pas le peuple, et pourtant je voyageais à travers le monde, mais j’étais toujours protégé (chauffeur, garde du corps…)

L’ art m’a permis justement d’être libre, mais aussi de pouvoir toucher tout le monde du doigt, pouvoir aller dans les endroits les plus riches et les plus pauvres. Définir mon art c’est le priver de cette liberté qu’il a. Je n’ai pas de style particulier, je m’essaie à tous les genres, de l’amapiano au zouk, en passant par les coupé décalé/ ndombolo/hiphop/rnb/kizomba/kompa,etc… J’essaie surtout d’apporter ma touche, une identité sonore. Je n’ai pas un style à moi, à part le candy zouk que j’ai inventé (zouk avec un son particulier). On reconnait ma production quel que soit le style que je fais, je pense. M’attacher à un genre particulier me limiterait musicalement et artistiquement, mais on reconnait ma patte.

La production… Produis-tu tous styles de musique ? Est-ce que c’est lucratif ?

En tant que Beat maker, je produis tous les styles de musique. J’aime la liberté: liberté d’essayer de nouvelles choses, sinon je m’ennuie très vite. Je décortique très rapidement la musique et la recrée. Je suis propriétaire de 100% de mes masters. Contrairement à beaucoup d’artistes qui gagnent entre 6 et 7% et qui doivent faire des shows pour compenser, je suis propriétaire de plusieurs streams, ce qui me donne un bon revenu journalier. Je vis très bien de mon art, j’ai cette chance.

Quels conseils ou astuces aurais-tu voulu avoir au début de ta carrière, qui serviraient ceux qui débutent aujourd’hui ?

Le meilleur conseil que ma mère m’ait donné au début de ma carrière c’est soit patient et n’abandonne jamais. Les choses viennent quand on travaille dur. Evidemment il faut avoir du talent. Pour faire une boulangerie, il faut apprendre à faire du pain parfait. Quel que soit ce que vous voulez, formez-vous, continuez même quand ce n’est pas encore à la hauteur de ce que vous attendez. Il faut se lancer et créer petit à petit sa communauté de fans, mieux avoir 10 fans fidèles que 1000 fans qui vous oublieront demain, se réinventer et essayer de faire des tubes. Amusez-vous et ne vous sentez pas obligés de faire un nouveau tube à chaque fois !

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L’article <b style="font-size: 23px;">KAYSHA</b></br><span style="font-size: 15px;"> La fusion des cultures et des rythmes</span> est apparu en premier sur C'CHIC Mag.