C’est un type de médecine qui se consacre principalement aux aspects médicaux qui sont liés à la pratique sportive. Dr G. Wandji, Médecin du sport de l’Équipe de France de Basket-Ball nous révèle dans cette interview les contours de son métier

 

 

 

Qui est Geoffrey WANDJI ?

Dans un premier temps, je dirai que mon histoire se définit toujours dans la multiplicité. Cela commence dès ma naissance, je suis métisse, mon père est Camerounais, ma mère est Française, j’ai grandi dans les 2 cultures et je pense que ça m’a permis de me rendre compte très rapidement qu’il existait toujours plusieurs façons de voir les choses. J’adorais la série « Le caméléon » avec Jarod quand j’étais adolescent et je fais souvent cette analogie en ce qui concerne ma vie, je suis curieux et je m’intéresse à pas mal de sujets. J’ai aussi plusieurs passions dont les principales sont aujourd’hui le sport et la musique. J’adore découvrir de nouvelles cultures et observer le mode de vie des personnes, essayer de comprendre leurs points de vue. Médecin du sport c’est mon métier principal, mais j’ai aussi un parcours entrepreneurial depuis 2014 qui représente environ 40% de mon temps. Mon métier et mes différentes activités me permettent de beaucoup voyager et de réunir plusieurs de mes passions. J’ai besoin de donner du sens à mes actions et je pense que chaque être humain a sa part de responsabilité pour laisser un monde meilleur à nos enfants. Aujourd’hui j’ai 41 ans, je suis l’heureux papa d’une magnifique princesse de 9 ans et je pense que j’arrive plus facilement à réunir les multiples facettes de ma personnalité, de mes passions et de mes activités autour d’une même entité. Ça parait évident quand on en parle, mais en vrai la connaissance et l’acceptation de soi sont des quêtes perpétuelles et je pense que le meilleur est encore à venir.

Pourquoi avoir choisi de te spécialiser dans le domaine du sport ? Dis-nous quel a été ton parcours

Le sport a toujours fait partie intégrante de ma vie. J’ai commencé avec la natation à 3ans, puis le football et ensuite le basket avec la Dream Team 92. Je n’ai jamais décroché de la balle orange depuis. Mon père a fait aussi beaucoup de sport de haut niveau au Cameroun et en France entre le football et le basket. À 16ans, j’ai participé à des camps de basket et j’avais été détecté par des entraineurs qui m’ont proposé de faire des essais dans des centres de formation. Lorsque j’en ai parlé à mes parents en rentrant, mon père m’a dit que la priorité c’était les études et qu’il fallait que je passe mon bac d’abord. Il m’a dit que les études c’était quelque chose de sûr mais que le sport de haut niveau était très incertain, surtout si je me blessais, et que si c’était le cas je n’aurai rien du tout. Cet évènement a été je crois l’un des déclencheurs de ma vocation, je me suis dit que la blessure ne pouvait pas être une fatalité et l’envie…

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Bienvenue Mireille. Nous sommes ravies de t’avoir en interview. Peux-tu te présenter brièvement pour nos lecteurs ?

Je suis Mireille Cauvin née Mbassi-Manga, fondatrice et dirigeante de Babeth Manage ment (Coaching & Consulting), une société par actions simplifiée unipersonnelle (SASU) dédiée à l’accompagnement professionnel. Forte de 28 années d’expérience dans des secteurs variés, j’ai développé une expertise allant de la gouvernance d’entreprise au management d’équipes, en passant par la gestion de projets stratégiques et la conformité, notamment en matière de protection des données. Titulaire d’un Executive Master en Coaching & Management de l’Université Paris Dauphine, d’un DESS en finance de l’IAE de Paris-Sorbonne, et d’une licence en management de projets SI de l’Université Paris Nanterre, je propose des services de coaching individuel, d’équipe et d’organisation à travers le monde, adaptés à une clientèle diversifiée. Je suis également l’auteure d’un ouvrage destiné à tout porteur de projet académique ou de reconversion, disponible en français et en anglais sous la marque Babeth COACHING®.

Qu’est-ce qu’un « bon coach-formateur » ?

Un « bon coach » doit d’abord comprendre la distinction fondamentale entre le coaching et la formation. L’appellation « coach-formateur » est en ré alité un amalgame qui peut prêter à confusion et susceptible d’engendrer une incompréhension sur la prestation offerte. Le coaching se concentre sur la facilitation de la prise de conscience et l’accompagne ment vers des objectifs personnels, tandis que la formation consiste à enseigner des compétences spécifiques. Un bon coach doit être clair sur sa posture de coach, privilégiant l’écoute active, les questions pertinentes et la non-imposition de solutions toutes faites. Le coaching repose en effet sur la capacité à aider le coaché à trouver ses propres réponses avec empathie et dans le respect de la déontologie professionnelle.

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Derrière chaque marque se cache une personne, une histoire. Découvrons ensemble celle de Fanny-Laure, la jeune camerounaise à la tête de l’Atelier Lior.

Fanny-Laure, merci de te présenter pour le magazine. Qui es-tu et quel est ton parcours ?

Je suis Fanny-Laure, fondatrice de l’Atelier Lior, un cabinet où l’on fait des consultations et des cosmétiques pour vous permettre d’avoir la peau la plus lumineuse possible. L’ordre dans lequel je présente les choses est très important. Les consultations dabord, les cosmétiques ensuite, car mon cœur de métier c’est bien de faire des consultations. Biologiste cutanée de formation, je m’intéresse à la physiologie de la peau. Chercheuse, j’aime comprendre comment celle-ci fonctionne et il est important de connaître sa peau avant d’appliquer des produits. C’est l’une des raisons pour lesquelles j’ai créé L’ Atelier Lior. J’ai une formation scientifique, faculté de médecine, faculté de biologie, laboratoire et après l’Atelier Lior.

Pour financer ton projet, tu as mis en place une campagne participative… Comment a été accueilli ton projet ?

Nous avons mis en place une campagne de crowfunding en mai 2021. Le but de la campagne n’était pas de financer la création du projet mais plutôt son évolution. En 2020 nous avons eu une assez forte croissance (à notre échelle). Il devenait donc indispensable de passer en phase d’industrialisation. Nous avions certes un fond de roulement mais ne voulions pas risquer de le mettre en péril d’autant plus qu’en passant en phase d’industrialisation, nous allions avoir besoin de fonds supplémentaires. C’est la raison pour laquelle nous avons mis en place la campagne. Celle-ci a été un réel outil de communication et nous a permis de gagner en visibilité.

Le projet a été plus que bien accueilli. Une fois de plus ce sont les Liors ladies qui m’ont incitée à mettre en place et à porter la campagne, en véritables ambassadrices. Il y a eu une réelle mobilisation, mon objectif était d’atteindre les 7000 euros mais en 24 heures à peine, nous avions passé le cap des 12 000 euros.

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DRH du Groupe Activa, Linda NGANKO cumule plus d’une vingtaine d’années d’expérience dans les ressources humaines. Elle a accepté de s’ouvrir à C’CHIC Magazine pour parler de cette fonction clé au sein de l’Entreprise, de son parcours et du Groupe Activa.

Linda NGANKO, quel est votre parcours et qu’est-ce qui vous a donné envie de construire une carrière dans les ressources humaines ?

Je suis diplômée en Management des entreprises de l’Institut Supérieur de Gestion de Paris (ISG) promotion 1998. J’ai commencé mon parcours universitaire par des études en finance d’entreprise, j’ai d’ailleurs passé 18 mois en Espagne au centre des études financières de Madrid (Espagne) et c’est vraiment par hasard que j’arrive dans les ressources humaines.

Après quelques stages en entreprise, j’ai très vite compris le rôle clé des Ressources Humaines. J’ai compris que les entreprises à succès et pérennes sont celles qui ont un projet humain fort. J’ai eu envie, à ma manière, de participer au développement d’entreprises en collaborant à la mise en œuvre de ce projet humain. C’est pour cela que j’ai finalement choisi de travailler dans les Ressources Humaines. Mon parcours professionnel dans les Ressources Humaines débute en 2000 à Montréal (Canada). Je rejoins la multinationale Africaine MTN en 2005, Leader des Télécoms au Cameroun où je fais mes classes pendant 14 ans et où j’ai occupé progressivement les postes de HR Officer, Employee Engagement specialist, HR Business Partner et depuis octobre 2020 je suis la Directrice du Capital Humain du Groupe Activa qui est une multinationale Africaine fondée par des africains pour répondre aux besoins des africains dans le domaine de l’assurance

Aujourd’hui vous êtes Directrice Capital Humain du Groupe ACTIVA, est-ce un aboutissement de carrière ?

J’ai intégré le Groupe ACTIVA à une période charnière de son histoire et de son développement. Après plusieurs annéesde croissance régulière et plusieurs acquisitions qui ont permis le rayonnement de cette marque sur le continent, la Direction Générale du Groupe a fait le choix de se restructurer pour répondre aux défis clés du marché en vue de poursuivre sa stratégie de croissance. C’est donc avec beaucoup d’enthousiasme que j’ai choisi de participer à cette dynamique, à laquelle je souhaite contribuer durablement et efficacement. Je dirais tout simplement que c’est une étape importante de mon projet professionnel qui me permet d’embrasser les challenges forts et exaltants. Mon ambition est de continuer à impacter positivement l’écosystème africain et d’apporter ma pierre à l’édifice

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Entretien avec Yann YOBA, Directeur Général de EUROPE AFRIQUE HOLDING, acteur majeur de l’intérim au Cameroun.

Monsieur Yoba, pouvez-vous vous présenter et nous parler des services que vous proposez ?

Je suis Yann Yoba, camerounais, 37 ans, marié et Père de 2 enfants. 10 ans d’expérience professionnelle accumulée en France où j’ai fait mes études,

principalement en Finance, puis retour il y a 4 ans au Cameroun, où j’occupe actuellement le poste de Directeur Général de Europe Afrique Holding.

Europe Afrique c’est avant tout une entreprise qui propose des services :

• De recrutement.
• De gestion de main d’œuvre temporaire.
• De formations professionnelles et organisations de séminaires d’entreprise.
• De portage salarial pour les entreprises étrangères souhaitant tester le marché camerounais avant de s’y implanter
• De gestion de supply chain logistique
• De convoyage (transports de véhicules neufs du Cameroun vers d’autres pays dela sous-région).

Vous avez récemment organisé une conference-débats autour des thèmes suivants: l’agilité et innovation dans un contexte de crise sanitaire, la resilience du marché du travail… Qu’en est il de votre structure ? Quels sont les impacts de la crise sur votre activité et comment avez-vous organisé le rebond ?

Les objectifs de la Conférence étaient tout d’abord d’échanger avec nos différents clients sur la façon dont chacun s’est organisé pour traverser la crise COVID, afin de pouvoir dégager les bonnes pratiques et créer des synergies. L’autre objectif était de faire connaitre notre entreprise auprès des différents prospects, ainsi que des médias et du grand public. L’impact de la crise dans notre secteur d’activité et en particulier chez nous a été colossal. En effet nous sommes là pour procurer à nos clients la flexibilité nécessaire pour ajuster leur effectif en fonction du volume d’activité.

Beaucoup de secteurs d’activités ont particulièrement soufferts, en particulier lespétroliers, les compagnies aériennes, leshôteliers et les restaurateurs. Nous avons donc souffert avec eux, car la quasi-totalité du personnel temporaire mis à disposition dans ces structures a été suspendu. La solution pour nous a été de diversifier notre activité. Pour cela nous avons créé une autre filiale, spécialisée cette fois-ci dans la maintenance du réseau électrique sur l’ensemble du territoire national : dépannage des poteaux qui tombent, installation de nouveaux compteurs d’électricité, maintenance des transformateurs électriques, coupures et remises de courant chez les usagers, distribution de factures d’électricité, contrôle des installations et lutte anti-fraude. Aujourd’hui, Europe Afrique est donc constitué d’un ensemble de 3 sociétés :

• Europe Afrique Intérim : recrutement et gestion de la main d’œuvre
• Europe Afrique Services : externalisation et gestion de la supply Chain
• Europe Afrique des Travaux : maintenance du réseau électrique et BTP

Les 3 filiales étant chapotées par une Holding.

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Il n’existe pas « un » mais « des » métiers de journaliste. Le point commun de ces métiers : informer. Fatimata WANE, Journaliste TV spécialiste des questions Africaines sur France 24 a accepté de nous parler de son parcours, de son métier et de son devoir de promouvoir l’Afrique.

Parlez-nous un peu de vous, de votre formation et de votre parcours …

Je suis journaliste passionnée par mon métier, celui de faire sens de l’actualité et d’essayer de la transmettre. J’ai été formée à l’école supérieure de journalisme de Paris et à la Sorbonne où j’ai étudié la littérature française, anglaise et américaine (une autre passion). Si j’y ai appris les bases, je considère avoir fait mes classes au cours de ces 15 années de travail. L’essentiel de mon savoir-faire aujourd’hui, je le dois à un apprentissage lié à mes rencontres professionnelles. Le journalisme est un artisanat. Pour paraphraser Simone de Beauvoir, je dirais qu’on ne nait pas journaliste en sortant de l’école mais on le devient en travaillant !

Comment est née cette passion pour le journalisme ? Faut-il une qualité ou un talent particulier pour exercer ce métier ?

Aujourd’hui mon métier me passionne mais ce n’était pas mon premier choix. Au départ, je me destinais aux études de médecine. Mais comme ça arrive parfois les deuxièmes amours sont plus solides. C’est en cherchant une deuxième voie que le journalisme m’a été révélé alors que je travaillais comme standardiste à la radio Europe 1 il y a plus de 20 ans. Ce temps court passé là-bas m’a permis de réaliser que les informations étaient une musique que j’adorais, une mécanique qui me fascinait. Puis j’ai
compris que l’actualité m’intéressait car je souhaitais par-dessus tout comprendre. Je
suis née curieuse. Et je trouve cela fabuleux alors que c’est dévalorisé. Ma curiosité du monde m’a permis d’être une meilleure personne et journaliste.

Vous travaillez chez France 24 depuis 2006. Avec les évolutions importantes que le métier de journaliste a connues (nouveaux supports, internet…), comment avez-vous progressé au sein de la chaîne ?

J’ai le bonheur de travailler pour une chaîne peu ordinaire qui m’a offert de belles opportunités et j’ai pu faire à peu près tous les corps de métiers à la télévision. Car on le sait peu mais les chaînes de télévision offrent des déclinaisons très spécifiques dans le métier du journalisme. J’ai eu la chance de faire du reportage, de la présentation, des entretiens, des nouveaux
supports. Le digital est un espace vaste et plein de promesses. Notre chaîne est en pointe dans ce secteur et nos équipes font un travail fantastique avec les nouvelles écritures.

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L’Afrique bouge…C’est ce qui nous vient quand on entend parler de vos inventions…Qui êtes-vous ?

Je suis Richard Gautier Odjrado, entrepreneur béninois fondateur de la marque AS®️Asuka Spirit.
Je suis consultant en stratégie, communication et marketing digital. J’ai 32 ans etje me définis comme ‘’solutionneur’’. Mon rêve est de contribuer au développement de l’Afrique en créant de la valeur et surtout beaucoup de riches champions dans plusieurs secteurs. Le rêve Africain est déjà en chantier et c’est ensemble que nous allons y arriver.

Comment êtes-vous devenu acteur clé des innovations technologiques aujourd’hui ? Parlez-nous de votre parcours …

J’ai eu mon déclic après avoir manqué d’être le fondateur d’une application qui a les mêmes fonctionnalités que WhatsApp.

J’ai commencé à entreprendre à l’âge de 14 ans. Mon meilleur professeur fut mon père. Il m’a formé sur le terrain dans le milieu des appareils électriques. J’ai roulé ma bosse en faisant divers petits métiers et jobs. J’ai été formateur officiel sur le programme ‘’Boost with Facebook’’ avec près de 4000 entrepreneurs formés au Bénin. J’ai lancé isecours, byebye covid-19, foire virtuelle internationale et aujourd’hui AS World Tech.

Comment ces œuvres se sont-elles réalisées ?

Je rencontre des problèmes et je leur apporte des solutions pratiques, efficaces et accessibles. Mes premières plateformes ont toutes été conçues et réalisées ici à Cotonou. Je pense la solution à un problème puis je rassemble les compétences autour pour passer à la réalisation. Le processus d’assemblage jusqu’au produit fini est très clair avec AS World Tech.

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L’article <b style="font-size: 23px;">RICHARD ODJRADO</b></br><span style="font-size: 15px;"> Connexion réussie à AS WORLD TECH</span> est apparu en premier sur C'CHIC Mag.

Entrepreneure dynamique, Fabienne Dervain bouscule le paysage ivoirien des commerces avec ses deux magasins de dernière génération. Retour sur son parcours.

Bonjour Fabienne, qui êtes-vous ? Et quel est votre parcours professionnel ?

Jeune femme ivoirienne de 33 ans, je me suis lancée dans l’aventure entrepreneuriale depuis 2013. Ma carrière professionnelle a commencé avec la réouverture de Couleur Café, coffee shop initialement créé par ma mère en 1999. Ensuite Couleur Concept, mon concept store consacré à la mode africaine est né lorsque j’ai décidé de fermer Couleur Café. Depuis septembre 2020, j’ai ouvert un espace dédié à la beauté noire et aux produits issus du travail de la communauté noire. Enfin, je suis la co-fondatrice de Windsor Real Estate Cote d’Ivoire, agence immobilière agréée, depuis 2016.

Vous êtes jeune et avez déjà un sacré parcours en tant qu’entrepreneure … Pourquoi avoir choisi l’entrepreneuriat ?

Depuis toute petite, j’ai toujours voulu entreprendre comme ma grand-mère paternelle. En revanche, mes choix d’entreprises ont été le résultat d’opportunités qui se sont ouvertes à moi. Je suis de nature fonceuse et je fonctionne beaucoup au feeling, donc lorsque j’identifie une opportunité de business et que je peux la mettre en place financièrement et sur le plan opérationnel, je la saisis sans trop me poser de questions.

Comment se passe une journée type ?

Aucune de mes journées ne se ressemble sauf celle du lundi que j’aime appeler ma journée de réunions. J’enchaine des réunions avec mes collaborateurs et mes consultants de 9h à 19h.

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L’article <b style="font-size: 23px;">FABIENNE DERVAIN</b></br><span style="font-size: 15px;"> Une business woman des temps modernes</span> est apparu en premier sur C'CHIC Mag.

Le continent Africain est devenu un champ d’opportunités et nombreux sont les membres de la Diaspora qui envisagent un retour au Pays. En tant que Repat et Experte en Ressources Humaines, Dhassyv KOUAO nous présente son parcours et nous livre également quelques conseils sur le sujet.

Mme Dhassyv KOUAO, qui êtes-vous ? Quel est votre parcours ? Merci de vous présenter pour nos lecteurs.

Je suis Dhassyv Kouao, née Ouraga Obou. Je suis Ivoirienne, je suis née, j’ai grandi et vécu à Abidjan jusqu’à mon Baccalauréat. Comme beaucoup d’autres, je n’ai pas hésité lorsque j’ai eu l’opportunité de faire mes études à l’étranger, en France dans mon cas. J’ai commencé mon parcours par des études de droit, que j’ai arrêtées au niveau DEUG 2, car je n’étais pas spécialement douée pour ce cursus, ni passionnée par ce dernier à vrai dire. J’ai donc cherché ma voie et ce qui semblait le plus correspondre . . .

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L’article <b style="font-size: 23px;">Dhassyv KOUAO</b></br><span style="font-size: 15px;"> Experte en gestion de carrière et en organisation d’entreprise, fondatrice de la maison DYV et de MYC (Manage Your Career)</span> est apparu en premier sur C'CHIC Mag.

Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ? Parlez-nous de votre parcour…

Franco-sénégalaise de par mon père et Ivoiro-allemande de par ma mère. Le fait d’avoir grandi et vécu à Abidjan détermine une grande partie de ma personnalité. Je suis ivoirienne avant tout !Après avoir obtenu mon baccalauréat scientifique au lycée français Blaise Pascal d’Abidjan en 2004, et réussi les examens d’entrée, j’ai intégré une école d’aviation. L’ Institut aéronautique à Amaury de La Grange était la meilleure école privée en France qui formait les cadets d’Air France ainsi que des élèves en formation privée comme moi. Cependant le monde de l’aéronautique d’un point de vue opportunité est cyclique. A la sortie de l’ école de pilotage, être embauché en tant que pilote n’est pas garanti, à moins d’avoir déjà un contrat en tant que cadet pour une compagnie. Je n’ai pas eu cette chance.Diplômée, j’ai tout de suite voulu rentrer chez moi . . .

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L’article <b style="font-size: 23px;">Edith MALA DIOP</b></br><span style="font-size: 15px;"> Officier pilote de ligne</span> est apparu en premier sur C'CHIC Mag.