Sous la houlette de Patrocle PETRIDIS, Directeur Général de TotalEnergies Cameroun, et en présence de Siliki Nsangue Akwa, Chef du département Marketing & Communication, ainsi que de Roland KWEMAIN, Président du cabinet Go Ahead Africa, cette réunion fut l’occasion de présenter les détails et contours de ce concours emblématique devant une audience composée de jeunes entrepreneurs, d’incubateurs, de médias et d’influenceurs.
Le Directeur Patrocle PETRIDIS a souligné l’importance de dynamiser et de donner des opportunités aux jeunes Camerounais, d’autant plus que les 18-35 ans représentent aujourd’hui près de 65% de la population camerounaise. Ce concours, véritable label aujourd’hui, offre des ressources financières, un cadre, et un réseau inestimable.

Le moteur du Challenge Startupper réside dans sa mission, celle de soutenir l’entrepreneuriat des jeunes en Afrique et les projets innovants qui ont un impact positif sur les communautés. Cette édition spéciale marquant les 100 ans de TotalEnergies, rend l’opportunité encore plus significative.

Alors si vous êtes un jeune entrepreneur âgé de 18 à 35 ans et que vous résidez au Cameroun, le “Challenge Startupper de l’année” est fait pour vous ! C’est une chance unique de faire connaître votre projet et de recevoir un soutien précieux pour le concrétiser.
La date limite approche à grands pas. Les visionnaires et les pionniers sont invités à soumettre leur candidature avant le 18 juin 2024 pour saisir cette opportunité qui peut changer le cours de leur parcours entrepreneurial.
Pour plus d’informations sur le Challenge Startupper de l’année et pour soumettre votre candidature, visitez https://startupper.totalenergies.com

L’ avenir est entre vos mains.

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T-STONE, une petite présentation pour nos lecteurs…Qui es-tu ? Et à quoi fait référence ton nom d’artiste ?

Salut à tous les lecteurs de C’CHIC MAGAZINE, moi c’est T-STONE, auteur-compositeur-interprète Guadeloupéen. Mon nom d’artiste, je ne l’ai pas choisi, il m’a été donné. J’ai un grand cousin qui se fait appeler STONE, et comme je bougeais très souvent avec lui, quand on nous voyait ensemble, on m’appelait « Ti STONE » (ndlr : « Petit STONE » en créole). Du coup, quand j’ai commencé la musique, j’ai remplacé le « i » par un tiret et ça a donné « T-STONE ».

Auteur/compositeur/interprète, ta chanson ‘’Olala’’ avec Keblack en 2018 a fait beaucoup de bruit et t’a fait connaître. Plus de 3 millions de vues sur Youtube. Comment expliques-tu ce succès ?

Effectivement beaucoup de personnes m’ont découvert avec « Olala ». Il faut savoir qu’il y a d’abord eu la version solo, et cette première version, qui a connu un gros succès, m’a permis de me professionnaliser, de rencontrer mon manager Jo Boy et mon producteur Claude CABIT, deux personnes essentielles à ma carrière que je salue. C’est à ce moment que la musique devient mon métier. Comment expliquer ce succès ? C’est un travail d’équipe, et c’est surtout la validation du public sans qui on n’est rien D’ailleurs, je remercie du fond du coeur toutes les personnes qui soutiennent ma musique. Grâce à elles, j’ai pu signer ensuite chez All Points et sortir la version de « Olala » en featuring avec Keblack ! On l’a fait venir en Guadeloupe pour tourner le clip ! Très belle expérience, grosse force à lui et à toute son équipe.

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Leggo, qui es-tu ?

Je suis LEGGO aKa Mista Leggo aKa Time to Leggo, artiste musicien, anticonformiste, pluridimensionnel, originaire de la ville de Douala au Cameroun, amoureux de l’art et des gens.

Tu es à l’avant-poste de la nouvelle vague du Hip-Pop camerounais. Comment expliques-tu cet engouement pour ta musique ?

Eh bien j’étais avant toute chose un aficionado, après je pense que c’est le cas de la plupart des artistes à la base. Et moi, l’art fait partie du socle de mon éducation, car je suis né de parents qui ont eux-mêmes été des artistes et j’ai fait une école de mode. J’ai eu la chance et le privilège d’avoir fait mes classes au sein du label d’une icône du Hip-Hop au Cameroun, KROTAL, auprès de qui j’ai pu apprendre énormément. Je suis présent dans le panorama musical camerounais, ça fera bientôt une dizaine d’années…

Tout se bouscule autour de toi…Tu es présent dans le paysage français. On a même entendu « Bombardé » à l’ After Party officiel de Chris Brown à Paris entre autres… Quelles sont tes ambitions ?

(Le jour où on me l’a dit j’étais sous le choc !!!) Sans équivoque, le Cameroun a toujours été un vivier de talents à fort potentiel. Et comme je disais précédemment, le but est de démontrer que nous avons une approche qui se veut afro-futuriste. Et je veux faire partie de ces fils d’ Afrique-là qui, clairement, montrent un autre visage du continent.

Raconte-nous ton parcours…

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Sarah, qui es-tu ? Merci de te présenter brièvement pour nos lecteurs…

Je suis franco-camerounaise, née en France d’un père camerounais et d’une mère française. Côté professionnel, je suis avocate au Barreau de Toulon. Côté sportif, je suis joueuse de tennis de table (pongiste) à haut niveau. J’ai participé à deux Jeux olympiques (Londres et Tokyo) sous les couleurs du Cameroun. J’ai pour objectif de me qualifier pour les jeux olympiques de Paris de 2024. J’ai aujourd’hui 36 ans, ces jeux seraient une belle manière de terminer ma carrière. Enfin, je suis également engagée dans le milieu associatif au travers de l’association Ping Sans Frontières, et dans l’entreprenariat social.

Nelson Mandela a dit « Le sport a le pouvoir de changer le monde. Il peut créer de l’espoir où il n’y avait avant que du désespoir ». Que penses-tu de cette citation ?

J’y adhère complètement. Le sport créé des ponts, lève des barrières, et ouvre le champ des possibles à titre individuel, mais également collectif. Par ailleurs, le sport est un formidable outil pour véhiculer des valeurs, qui permettent justement de changer le monde ou, a minima, de faire bloc contre bien des maux qui sont parfois source de conflits à grande échelle. Je suis également intimement convaincue que le sport a le pouvoir d’unir les gens, de susciter des émotions uniques.

Parle-nous de ton engagement social et de la création de ton association PING SANS FRONTIERES… Quel a été l’élément déclencheur ? Qu’est-ce qui t’anime au quotidien ?

L’association PING SANS FRONTIERES est née à la suite de ma participation aux Jeux de la Francophonie 2005 au Niger en tant que membre de l‘équipe de France de tennis de table. Lors de cette compétition, j’ai eu l’occasion de rencontrer l’équipe nationale du Niger grâce à l’association du perchiste Jean Galfione « Athlètes du Monde ». Une table dehors, un filet cassé, une seule balle, des enfants qui jouent au bord de la route, à côté des voitures qui passent. J’ai alors pris conscience des conditions rudimentaires dans lesquelles se pratique le tennis de table en dépit de la réelle passion que suscite ce sport en Afrique. À l’époque, j’étais sponsorisée, j’avais des équipements de manière illimitée. En rentrant en France, je devais agir. J’ai commencé par collecter les raquettes et revêtements que nous estimions usés pour une pratique à haut niveau, pour les redistribuer là où il y avait des besoins. Ping Sans Frontières est née. Depuis lors, l’association n’a cessé d’agir et d’évoluer. De nombreuses missions ont été menées dans 16 pays à travers le monde. Nous avons 350 clubs en France qui participent à la collecte des raquettes et revêtements usagés au travers de l’opération des plaques pour tous menée en partenariat avec la marque Cornilleau. Nous avons ainsi créé et distribué des urnes de collectes de ces équipements. Depuis 2006, l’association a bien évolué. Aux distributions de matériel viennent s’ajouter les formations d’entraîneur, les camps d’entraînement, les constructions de tables artisanales puis les campagnes massives de promotion du tennis de table dans les écoles.

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PASSI, une petite présentation pour nos lecteurs… Qui es-tu ?

Je suis Passi Balende, franco-congolais. Je suis né à Brazzaville et j’ai grandi à Sarcelles. Artiste- acteur- producteur. Aka Issap, aka l’ Altesse double S, du Bisso na Bisso, Dis l’heure 2, Ministère AMER, Secteur Ä.

Précurseur quand on parle du Rap français, dans les années 1990… Que t’évoque cette affirmation ?

Cela me rappelle mes débuts et mes premiers textes à l’âge de 13 ans. La prise en mains de notre destin à 15 ans en MJC avec la création de notre première association loi 1901 (A.M.E.R). Il fallait s’organiser pour exister, répéter, se développer, produire nos titres et premiers shows. Trouver des connections pour pouvoir faire notre premier disque. Cela semblait impossible à l’époque pour des mecs de banlieue, nul ne croyait au Rap. Nous étions habités par le rêve, la passion et l’engagement.

Le monde musical, passion depuis toujours ? Parle-nous un peu de ton enfance et de ton parcours…

Je suis issu d’une famille nombreuse congolaise donc il y’ avait plusieurs ambiances musicales à la maison, ce qui est le socle de ma formation. Il y’ avait un poste audio ou une chaîne au salon et dans chaque chambre.

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L’article <b style="font-size: 23px;">PASSI</b></br><span style="font-size: 15px;"> L’ÂGE D’OR DU RAP URBAIN</span> est apparu en premier sur C'CHIC Mag.

«His name may be unfamiliar to you, but this gentleman has revolutionized the world of prosthetics for black skin. Meet John AMANAM, the first African prosthetics manufacturer.»

Who is John AMANAM ? A little presentation please…

I’m called JOHN AMANAM from Nigeria, I’m a 33 years old man. First African to produce hyper-realistic prosthesis and CEO of IMMORTAL COSMETIC ART.

Tell us about your journey. How did you come up with the idea to manufacture specific prosthetics for black skin?

I respect my clients privacy and that restrict us from sharing all the moments. We’ve had orders from more than 60 countries and have made worldwide deliverie across the globe : At least 400 clients within 3 years. We’ve hosted clients from different countries in our state. We are about to launch a training program ( to facilitate and certify agents) to enable people reach us from other countries instead of traveling to Uyo, Akwa Ibom state, Nigeria. The image below ( through not clear) is that of one of our clients in USA whose work was delivered about 4 months ago.

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« Tradition, créativité, excellence et humanité »

MEM CLAH est une marque d’accessoires de mode très tendance qui fait son bonhomme de chemin. Son style se veut tradi-moderne et s’adapte à sa clientèle. Les créations sont uniques et originales avec des produits de choix et de qualité pour une clientèle haut de gamme. Cette marque représentée au Togo ambitionne de devenir une référence en Afrique et partout dans le monde.

 

 

 

Sa créatrice BODOMBOSSOU Méli, de nationalité togolaise est juriste-maritime et ingénieure des transports de formation, et accessoiriste de mode par passion.

C’est après beaucoup d’hésitation, et le soutien de ses deux sœurs, qu’ elle décida de créer sa marque MEM CLAH ( nom formé à partir des initiales de leurs différents prénoms).
Son objectif, créer une marque qui matérialise ses différentes aspirations, ambitions et passions.

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L’ entrepreneur et styliste sénégalais nous ouvre les portes de son univers : les costumes sur mesure. Plus que le métier de designer, Ben est une fashion-victim passionné de créativité.

BEN ATLANTA, peux-tu nous parler de ta marque… Quelle est la particuarité de tes créations ?

Bonjour, je suis Ben Hane, un entrepreneur sénégalais qui évolue dans le domaine du stylisme. Je suis designer de costumes sur-mesure et également conseiller vestimentaire classique pour Homme. Je suis le fondateur de la marque BEN ATLANTA (confection de costumes sur-mesure, Made in Sénégal).

Comment es-tu rentré dans l’univers de la mode et depuis combien de temps dure cette belle aventure ?

Créée en 2016 (officialisée), la marque BEN ATLANTA a pour objectif de promouvoir la consommation locale en alliant talent et qualité tout en favorisant l’exportation du savoir-faire sénégalais. Tout a commencé à l’université vu que je suis un passionné de la mode. Je m’habillais toujours en sur-mesure avec mes propres designs. Du coup tout le monde (étudiants comme professeurs) voulait me copier voire même me demander toujours le contact de mon tailleur etc… Après je me suis dit pourquoi ne pas me lancer dans la mode. Puis j’ai commencé mon business petit à petit.

L’on s’est laissé dire qu’un styliste peut faire ressortir un caractère à travers un vêtement… Qu’en est-il ?

Au fil des années j’ai appris que ce qui est important dans un costume, c’est l’homme qui le porte.Chez moi, chaque tenue sur-mesure reflète la personnalité du client. L’image du client est son pouvoir. Il lui faut donc un style impeccable. Je ne laisse rien au hasard lorsqu’il s’agit de projeter une allure confiante, professionnelle et élégante. Ces petits détails font toute la différence.

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Dans un écosystème de plus en plus digital, Yengafrica se place au coeur de l’offre touristique au Cameroun. Découvrons ensemble la première plateforme de billetterietouristique au Cameroun, créée par Joel Nana, son fondateur.

Qu’est-ce que « YENGAFRICA » et qui se cache derrière ?

Yengafrica est une agence de voyage phygitale (physique et digitale) qui permet à tout individu de chercher et réserver une activité touristique ou de loisirs où qu’il se trouve sur le territoire national. Derrière YENGAFRICA se trouve un enfant du pays, né à Douala, ayant fait ses études primaires dans le Nord du Cameroun, secondaires dans le sud-ouest et ses études universitaires en Grande-Bretagne et en France. Je suis parti du Cameroun après mon BAC en 2010 et c’est lors d’un voyage au pays que je fais un constat du manque de plateformes pour mettre en avant les activités proposées par les acteurs du tourisme. L’idée m’est alors venue de créer YENGAFRICA pour apporter plus de visibilité aux acteurs touristiques.

Le postulat de départ… à quel besoin répond la création de ta plateforme ? Quels services proposez-vous ?

Il faut savoir que la première chose que recherche un touriste, c’est l’information. Aujourd’hui, les clients ont difficilement accès à l’information et ce manque tant sur le plan physique que digital, engendre plusieurs problématiques de transparence, d’accessibilité et de sécurité pour les touristes. Grâce à notre plateforme et nos services de voyage sur mesure, nous permettons aux acteurs touristiques de proposer leurs services avec tous les détails nécessaires, afin que chacun puisse réserver et consulter les avis laissés par d’autres voyageurs. Les clients bénéficient d’une sécurité en payant via la plateforme, car les opérateurs sont rémunérés uniquement lorsqu’ils ont réalisé les services proposés. Il est également important de rappeler qu’un client peut aussi être une entreprise ou un établissement scolaire. Préparer ou budgétiser une excursion scolaire, un voyage d’entreprise ou recevoir des délégations étrangères devient donc simplifié grâce à la variété et à l’authenticité des produits touristiques proposés sur notre plateforme. Avec cette approche, nous pensons qu’il est possible de rendre le tourisme camerounais plus transparent, accessible et sécurisé. Nos services ne se limitent pas qu’aux activités et voyages sur-mesure, nous proposons également à nos clients la possibilité de réserver un véhicule ou un hébergement.

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Arbre de Vie est une épicerie de proximité qui favorise la production locale ivoirienne et Africaine : artisane, agricole mais aussi industrielle. Son but, valoriser le savoir-faire local, (création, innovation et transformation). Rencontre avec Albéric, ce fondateur passionné qui souhaite faciliter l’accès à ces produits et changer notre façon de consommer

Qui es-tu ? Et quelle est la genèse du concept « Arbre de Vie » ?

Je suis Albéric ANOH, ingénieur projet informatique de formation et entrepreneur depuis 9 ans. Arbre de Vie est né d’un déclic que j’ai eu lors de la crise du COVID. En effet la crainte de pénurie de produits alimentaires importés m’a emmené à m’interroger sur la production locale. Cette curiosité m’a conduite vers de merveilleuses créations locales qui malheureusement manquaient de visibilité. J’ai compris à cet instant qu’il était crucial pour tout Etat d’être indépendant sur des secteurs clés de son économie comme l’agroalimentaire. Arbrede Vie est la vitrine de tous les transformateurs locaux de qualité. L’ objectif est de proposer une offre pour tous friands de saveurs africaines et saines.

Que proposes-tu dans ton épicerie ? Pourquoi venir chez Arbre de vie ?

Arbre de vie est un excellent voyage culturel au cœur des richesses et de la créativité africaine. C’est pour les étrangers une découverte, pour les locaux unefierté identitaire, et pour tous une solution d’ alimentation saine. Nous avons exactement tout ce qu’un supermarché classique pourrait avoir en termes de rayons.Par exemple pour la cuisine quotidienne nous avons des sauces en boîte de conserves comme la graine, le gnangnan, le kédjénou, etc. Des farines pré-faites pour l’abollo, l’akassa et le placali. En alcool le bandji, le koutoukou arrangé, des vins de fruits (ananas, feuilles d’avocatiers, etc…). Amuses-bouches et confiseries comme sucettes de toffi, noix de cajou, chips de coco, mangues séchées ou encore du cosmétique et de la diététique.

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