« Tradition, créativité, excellence et humanité »

MEM CLAH est une marque d’accessoires de mode très tendance qui fait son bonhomme de chemin. Son style se veut tradi-moderne et s’adapte à sa clientèle. Les créations sont uniques et originales avec des produits de choix et de qualité pour une clientèle haut de gamme. Cette marque représentée au Togo ambitionne de devenir une référence en Afrique et partout dans le monde.

 

 

 

Sa créatrice BODOMBOSSOU Méli, de nationalité togolaise est juriste-maritime et ingénieure des transports de formation, et accessoiriste de mode par passion.

C’est après beaucoup d’hésitation, et le soutien de ses deux sœurs, qu’ elle décida de créer sa marque MEM CLAH ( nom formé à partir des initiales de leurs différents prénoms).
Son objectif, créer une marque qui matérialise ses différentes aspirations, ambitions et passions.

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C’est un type de médecine qui se consacre principalement aux aspects médicaux qui sont liés à la pratique sportive. Dr G. Wandji, Médecin du sport de l’Équipe de France de Basket-Ball nous révèle dans cette interview les contours de son métier

 

 

 

Qui est Geoffrey WANDJI ?

Dans un premier temps, je dirai que mon histoire se définit toujours dans la multiplicité. Cela commence dès ma naissance, je suis métisse, mon père est Camerounais, ma mère est Française, j’ai grandi dans les 2 cultures et je pense que ça m’a permis de me rendre compte très rapidement qu’il existait toujours plusieurs façons de voir les choses. J’adorais la série « Le caméléon » avec Jarod quand j’étais adolescent et je fais souvent cette analogie en ce qui concerne ma vie, je suis curieux et je m’intéresse à pas mal de sujets. J’ai aussi plusieurs passions dont les principales sont aujourd’hui le sport et la musique. J’adore découvrir de nouvelles cultures et observer le mode de vie des personnes, essayer de comprendre leurs points de vue. Médecin du sport c’est mon métier principal, mais j’ai aussi un parcours entrepreneurial depuis 2014 qui représente environ 40% de mon temps. Mon métier et mes différentes activités me permettent de beaucoup voyager et de réunir plusieurs de mes passions. J’ai besoin de donner du sens à mes actions et je pense que chaque être humain a sa part de responsabilité pour laisser un monde meilleur à nos enfants. Aujourd’hui j’ai 41 ans, je suis l’heureux papa d’une magnifique princesse de 9 ans et je pense que j’arrive plus facilement à réunir les multiples facettes de ma personnalité, de mes passions et de mes activités autour d’une même entité. Ça parait évident quand on en parle, mais en vrai la connaissance et l’acceptation de soi sont des quêtes perpétuelles et je pense que le meilleur est encore à venir.

Pourquoi avoir choisi de te spécialiser dans le domaine du sport ? Dis-nous quel a été ton parcours

Le sport a toujours fait partie intégrante de ma vie. J’ai commencé avec la natation à 3ans, puis le football et ensuite le basket avec la Dream Team 92. Je n’ai jamais décroché de la balle orange depuis. Mon père a fait aussi beaucoup de sport de haut niveau au Cameroun et en France entre le football et le basket. À 16ans, j’ai participé à des camps de basket et j’avais été détecté par des entraineurs qui m’ont proposé de faire des essais dans des centres de formation. Lorsque j’en ai parlé à mes parents en rentrant, mon père m’a dit que la priorité c’était les études et qu’il fallait que je passe mon bac d’abord. Il m’a dit que les études c’était quelque chose de sûr mais que le sport de haut niveau était très incertain, surtout si je me blessais, et que si c’était le cas je n’aurai rien du tout. Cet évènement a été je crois l’un des déclencheurs de ma vocation, je me suis dit que la blessure ne pouvait pas être une fatalité et l’envie…

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L’article <b style="font-size: 23px;">Dr. GEOFFREY WANDJI</b></br><span style="font-size: 15px;"> LA MÉDECINE SPORTIVE</span> est apparu en premier sur C'CHIC Mag.

Bienvenue Mireille. Nous sommes ravies de t’avoir en interview. Peux-tu te présenter brièvement pour nos lecteurs ?

Je suis Mireille Cauvin née Mbassi-Manga, fondatrice et dirigeante de Babeth Manage ment (Coaching & Consulting), une société par actions simplifiée unipersonnelle (SASU) dédiée à l’accompagnement professionnel. Forte de 28 années d’expérience dans des secteurs variés, j’ai développé une expertise allant de la gouvernance d’entreprise au management d’équipes, en passant par la gestion de projets stratégiques et la conformité, notamment en matière de protection des données. Titulaire d’un Executive Master en Coaching & Management de l’Université Paris Dauphine, d’un DESS en finance de l’IAE de Paris-Sorbonne, et d’une licence en management de projets SI de l’Université Paris Nanterre, je propose des services de coaching individuel, d’équipe et d’organisation à travers le monde, adaptés à une clientèle diversifiée. Je suis également l’auteure d’un ouvrage destiné à tout porteur de projet académique ou de reconversion, disponible en français et en anglais sous la marque Babeth COACHING®.

Qu’est-ce qu’un « bon coach-formateur » ?

Un « bon coach » doit d’abord comprendre la distinction fondamentale entre le coaching et la formation. L’appellation « coach-formateur » est en ré alité un amalgame qui peut prêter à confusion et susceptible d’engendrer une incompréhension sur la prestation offerte. Le coaching se concentre sur la facilitation de la prise de conscience et l’accompagne ment vers des objectifs personnels, tandis que la formation consiste à enseigner des compétences spécifiques. Un bon coach doit être clair sur sa posture de coach, privilégiant l’écoute active, les questions pertinentes et la non-imposition de solutions toutes faites. Le coaching repose en effet sur la capacité à aider le coaché à trouver ses propres réponses avec empathie et dans le respect de la déontologie professionnelle.

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Gina Paige : Pionnière de la Connexion Génétique

Découvrez le parcours personnel de cette brillante femme d’affaire et chercheuse, figure emblématique du panafricanisme et fondatrice d’African Ancestry. Issu d’une lignée d’entrepreneurs, son voyage vers la création de cette entreprise innovante est imprégné de sa passion pour relier les individus à leurs racines africaines.

Test ADN de African Ancestry : Un Voyage aux Origines

Explorez le processus de test génétique révolutionnaire d’African Ancestry, conçu par Gina Paige pour tracer les origines africaines. Des recherches liées à Gina Paige et à African Ancestry révèleront comment ces tests, analysant l’ADN mitochondrial et le chromosome Y, redéfinissent notre compréhension des racines africaines.

Mission Panafricaine : Transformer les Perceptions, Un ADN à la Fois

Découvrez la mission profonde d’African Ancestry qui va au-delà des tests génétiques. Gina Paige partage son engagement en faveur du panafricanisme, visant à transformer la perception des individus sur leur identité et l’Afrique elle-même. Chaque recherche liée au panafricanisme vous conduira à cette interview, révélant comment l’entreprise façonne une nouvelle perspective sur les héritages africains.

Déraciner les Stéréotypes : Défis et Triomphes

Explorez les défis spécifiques auxquels African Ancestry fait face en tant qu’entreprise pionnière. Les recherches sur les origines africaines et le panafricanisme mettront en lumière comment l’entreprise surmonte les obstacles, éduquant les communautés et déracinant les stéréotypes persistants.

Plongez dans cette interview pour une expérience enrichissante liée à la vie d’une femme qui a su offrir à chacun la chance de se rapprocher à ses origines. Redéfinissez votre histoire génétique, embrassez votre identité, et célébrez la richesse de l’Afrique.

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L’article <b style="font-size: 23px;">Gina PAIGE</b></br><span style="font-size: 15px;"> AFRICAN ANCESTRY</span> est apparu en premier sur C'CHIC Mag.

Journaliste et présentateur sportif, Malick Traoré dit « Mr 11 d’Europe » est l’un des visages phares du sport sur les chaînes CANAL PLUS. Il a récemment couvert la Coupe d’Afrique des Nations 2021 via l’émisision «Jour de CAN». C’CHIC a eu le plaisir de l’interviewer. Découvrez son parcours inspirant et son regard sur la CAN.

Malick, parlez-nous un peu de vous… Quel a été votre parcours professionnel ?

Je ne suis qu’au début de ce parcours, car Canal Plus est le premier employeur qui m’a donné une chance à la sortie de mes études, ou presque. Car auparavant, j’étais à la fois étudiant à l’IICP dans le 13e arrondissement de Paris, et journaliste pour une chaîne d’info People appelée Non-Stop People (NSP). Un vrai tremplin pour moi car j’y ai rencontré des confrères et consœurs de talent, qui font le bonheur de pas mal de médias dans le paysage audiovisuel Français. C’est une expérience qui peut faire sourire certains mais sans NSP, je considère que je ne serais pas là où je suis.

Comment est né ce désir d’être journaliste ? Quel a été le déclic ?

Être journaliste c’était un rêve d’enfant. Je dévorais les magazines de football et je connaissais tout sur tout. Je m’amusais même à commenter les matchs de mes copains sur le terrain ou sur console (rires). Être journaliste c’était également l’occasion d’assouvir deux passions : le sport, et pouvoir voyager et découvrir des cultures diverses et variées. Ce qui n’était qu’un rêve lointain, s’est matérialisé en 2011 lorsque j’étais en 1ere année de BTS communication à SUP DE COM à Nantes. J’y ai rencontré Thomas qui est devenu l’un de mes meilleurs amis aujourd’hui. Le déclic il est là. Il était passionné de sport et avait les mêmes rêves que moi. Mais lui était déjà animateur dans une radio bénévole (SUN Radio) et correspondant local pour le journal phare de la région Ouest-France. À 19 ans il commentait déjà quelques rencontres du FC Nantes et suivait l’actualité locale par le biais du journal. Alors je me suis rapproché de lui et il m’a donné encore plus envie de faire ce métier. Notre amitié est aussi liée au fait que tous les deux nous avons connu des parcours difficiles. Finalement nous avons réalisé nos rêves, puisqu’il est aujourd’hui journaliste à L’Equipe, LE quotidien de sport en France

Que pensez-vous de la CAN, et du fait d’avoir présenté l’une des émissions phares de cette compétition ? Racontez-nous un peu les coulisses de « Jour de CAN ».

Malgré toutes les critiques qui ont été émises, cette CAN j’ai adoré la vivre. C’était une fête. De toute façon, il ne pouvait en être autrement. Le Cameroun que l’on surnomme « l’Afrique en miniature » attendait cette compétition depuis 50 ans !!! Et s’il y a bien un pays qui adore le football, le sport même en général c’est bien le Cameroun. En ce qui concerne les émissions « Jour de CAN » et « Soir de CAN », on peut dire que ce fut une réussite. Comme en témoignent les nombreuses interactions que nous avons pu avoir avec les abonnés via les réseaux sociaux. Il y a eu beaucoup de bienveillance, et c’est ce que j’ai envie de retenir. Pour les coulisses, tout ce que je peux vous dire c’est que parfois certains experts que vous voyez en plateau, plutôt objectifs en général, l’étaient beaucoup moins en privé. L’ambiance était parfois chaude. Mais ce qui se passe en coulisses reste en coulisses (rires).

Quel regard portez-vous aujourd’hui, sur le métier de journaliste sportif en Afrique ?

J’ai ÉNORMÉMENT de respect pour mes confrères et consœurs sur le continent. Si la CAN a été une confirmation, depuis quelques années la qualité des journalistes de sport africains est indéniable. Mais pour garder ces standards, ou peutêtre les élever un peu plus, il faudrait créer plus d’établissements dédiés au métier de journaliste. Avec des outils totalement en adéquation avec le monde des médias d’aujourd’hui. De nombreux jeunes africains rêvent de faire ce métier et ont les capacités pour. Ces diamants bruts doivent être polis. Aidons-les en ce sens.

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L’article <b style="font-size: 23px;">MALICK TRAORÉ</b></br><span style="font-size: 15px;"> Journaliste sportif à Canal+ internationnal</span> est apparu en premier sur C'CHIC Mag.

Carole Épée, Directrice Générale de Willis Towers Watson Cameroun. Rôle, utilité et expertise… Découvrez en 10 questions, le leader Africain du courtage en Assurances.

Mme Épée, pouvez-vous vous présenter pour nos lecteurs ?

Camerounaise de 43 ans, maman de 3 enfants, biologiste de formation et Directrice générale de WTW Cameroun.

En tant que Directrice Générale de la société Willis Towers Watson Cameroun, pourriez-vous nous décrire votre entreprise ainsi que la place qu’elle occupe en Afrique?

WTW Cameroun est la filiale locale du Groupe WTW (Willis Towers Watson) qui est le 3eme courtier en assurances mondial et leader en Afrique.

Nous sommes spécialisés dans le conseil et le courtage, notamment le placement et la gestion des risques. WTW a une grande histoire africaine qui s’écrit sur l’ensemble du continent depuis plus de 50 ans et continue aujourd’hui par l’investissement dans nos collaborateurs, produits et partenaires. Notre réseau, à travers des filiales et des partenaires dans 36 pays africains, nous confère la capacité de servir nos clients locaux, panafricains et multinationaux.

Quel est le profil de vos clients ?

Nous mettons notre savoir-faire à disposition des entreprises multinationales, de PME-PMI, mais aussi des particuliers, selon les besoins spécifiques liés aux modes de vie, aux secteurs d’activités, aux projets en cours ou à venir et aux risques auxquels les personnes et lles organisations peuvent être exposés.

Peu d’africains voient l’utilité de s’assurer et estiment que cela est réservé aux CSP+. Comment faites-vous pour réussir à les convaincre de s’assurer? Quelles sont les actions mises en place pour les capter ?

La sensibilisation permanente et la vulgarisation de la gestion des risques font partie intégrante de notre mission de conseil, raison pour laquelle nous travaillons à rendre l’offre assurantielle plus large et plus digeste pour le public. Nous vivons dans des sociétés où la notion de risque n’est pas
encore bien appréciée par tous et il est important d’éduquer nos concitoyens quant à l’importance de se prémunir des « accidents du quotidien » comme ceux à plus long terme.
En la matière, le chantier pour nos États est malheureusement encore vaste, ce qui laisse une grande marge de progression en termes de protection des personnes et des biens. Nous œuvrons également, de concert avec nos organes de régulation, à renforcer la couverture obligatoire des investissements dans l’intérêt du développement économique de notre pays.

On parle actuellement beaucoup de digitalisation, notamment dans le secteur des assurances. Où en êtesvous par rapport au digital ?

L’autonomisation de la gestion des risques n’est plus une priorité mais est devenue une urgence et WTW en tant que leader sur le marché des assurances n’est pas en reste. Forts de nos outils, nous permettons à nos clients de gérer leurs risques en toute visibilité et transparence, tout en les accompagnant toujours plus efficacement pour le suivi et l’optimisation de leurs couvertures. Ce, au regard des divers changements qui peuvent survenir tant dans leurs environnements immédiats que dans leurs secteurs d’activité qui ont tous des problématiques parfois ultra spécifiques.

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L’article <b style="font-size: 23px;">CAROLE ÉPÉE</b></br><span style="font-size: 15px;"> Zoom sur WILLIS TOWERS WATSON Cameroun</span> est apparu en premier sur C'CHIC Mag.

AYES Essentielle est une marque de savons artisanaux et de produits cosmétiques naturels fait-mains lancée en septembre 2020 par Anne Emmanuelle Soumah-Yacé, une jeune Ivoirienne de 26 ans, passionnée par l’univers du bien-être.

Partager sa passion et révolutionner le marché des cosmétiques, était une évidence. Déterminée à conquérir le marché des cosmétiques naturels aussi bien en Côte d’Ivoire qu’à l’international, elle s’est longuement formée pour apprendre à formuler des crèmes et des savons. Elle a réalisé de nombreux tests avant de donner vie à sa marque. Il lui a fallu près de 1 an de travail pour transformer un rituel de beauté composé de produits naturels et sains en un projet tangible.

Le concept de la marque est d’offrir à un large public des produits naturels aux compositions et senteurs originales, tout en veillant au bien-être de sa clientèle. Elle formule et propose des soins doux, réparateurs et popularise l’usage du savon naturel, fabriqué à la main et saponifié à froid.

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L’article <b style="font-size: 23px;">AYES ESSENTIELLE</b></br><span style="font-size: 15px;"> Une marque de soins qui fait parler d’elle</span> est apparu en premier sur C'CHIC Mag.

L’Afrique bouge…C’est ce qui nous vient quand on entend parler de vos inventions…Qui êtes-vous ?

Je suis Richard Gautier Odjrado, entrepreneur béninois fondateur de la marque AS®️Asuka Spirit.
Je suis consultant en stratégie, communication et marketing digital. J’ai 32 ans etje me définis comme ‘’solutionneur’’. Mon rêve est de contribuer au développement de l’Afrique en créant de la valeur et surtout beaucoup de riches champions dans plusieurs secteurs. Le rêve Africain est déjà en chantier et c’est ensemble que nous allons y arriver.

Comment êtes-vous devenu acteur clé des innovations technologiques aujourd’hui ? Parlez-nous de votre parcours …

J’ai eu mon déclic après avoir manqué d’être le fondateur d’une application qui a les mêmes fonctionnalités que WhatsApp.

J’ai commencé à entreprendre à l’âge de 14 ans. Mon meilleur professeur fut mon père. Il m’a formé sur le terrain dans le milieu des appareils électriques. J’ai roulé ma bosse en faisant divers petits métiers et jobs. J’ai été formateur officiel sur le programme ‘’Boost with Facebook’’ avec près de 4000 entrepreneurs formés au Bénin. J’ai lancé isecours, byebye covid-19, foire virtuelle internationale et aujourd’hui AS World Tech.

Comment ces œuvres se sont-elles réalisées ?

Je rencontre des problèmes et je leur apporte des solutions pratiques, efficaces et accessibles. Mes premières plateformes ont toutes été conçues et réalisées ici à Cotonou. Je pense la solution à un problème puis je rassemble les compétences autour pour passer à la réalisation. Le processus d’assemblage jusqu’au produit fini est très clair avec AS World Tech.

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