« Tradition, créativité, excellence et humanité »

MEM CLAH est une marque d’accessoires de mode très tendance qui fait son bonhomme de chemin. Son style se veut tradi-moderne et s’adapte à sa clientèle. Les créations sont uniques et originales avec des produits de choix et de qualité pour une clientèle haut de gamme. Cette marque représentée au Togo ambitionne de devenir une référence en Afrique et partout dans le monde.

 

 

 

Sa créatrice BODOMBOSSOU Méli, de nationalité togolaise est juriste-maritime et ingénieure des transports de formation, et accessoiriste de mode par passion.

C’est après beaucoup d’hésitation, et le soutien de ses deux sœurs, qu’ elle décida de créer sa marque MEM CLAH ( nom formé à partir des initiales de leurs différents prénoms).
Son objectif, créer une marque qui matérialise ses différentes aspirations, ambitions et passions.

Lire la suite dans le Mag .

L’article <b style="font-size: 23px;">MEM CLAH</b> est apparu en premier sur C'CHIC Mag.

L’ entrepreneur et styliste sénégalais nous ouvre les portes de son univers : les costumes sur mesure. Plus que le métier de designer, Ben est une fashion-victim passionné de créativité.

BEN ATLANTA, peux-tu nous parler de ta marque… Quelle est la particuarité de tes créations ?

Bonjour, je suis Ben Hane, un entrepreneur sénégalais qui évolue dans le domaine du stylisme. Je suis designer de costumes sur-mesure et également conseiller vestimentaire classique pour Homme. Je suis le fondateur de la marque BEN ATLANTA (confection de costumes sur-mesure, Made in Sénégal).

Comment es-tu rentré dans l’univers de la mode et depuis combien de temps dure cette belle aventure ?

Créée en 2016 (officialisée), la marque BEN ATLANTA a pour objectif de promouvoir la consommation locale en alliant talent et qualité tout en favorisant l’exportation du savoir-faire sénégalais. Tout a commencé à l’université vu que je suis un passionné de la mode. Je m’habillais toujours en sur-mesure avec mes propres designs. Du coup tout le monde (étudiants comme professeurs) voulait me copier voire même me demander toujours le contact de mon tailleur etc… Après je me suis dit pourquoi ne pas me lancer dans la mode. Puis j’ai commencé mon business petit à petit.

L’on s’est laissé dire qu’un styliste peut faire ressortir un caractère à travers un vêtement… Qu’en est-il ?

Au fil des années j’ai appris que ce qui est important dans un costume, c’est l’homme qui le porte.Chez moi, chaque tenue sur-mesure reflète la personnalité du client. L’image du client est son pouvoir. Il lui faut donc un style impeccable. Je ne laisse rien au hasard lorsqu’il s’agit de projeter une allure confiante, professionnelle et élégante. Ces petits détails font toute la différence.

Lire la suite dans le Mag .

L’article <b style="font-size: 23px;">BEN ATLANTA</b></br><span style="font-size: 15px;"> L’ Art du Sur-Mesure !</span> est apparu en premier sur C'CHIC Mag.

KARIMA JAFFAR

Instant bien-être

Passionnée par son métier d’esthéticienne, elle a créé le tout premier intitut dédié à l’esthétique Bio aux Comores : La Maison BEAUCOR…

Qui se cache derrière la Maison Beaucor ?

Je suis Karima Jaffar (alias Karida), la fondatrice de la Maison Beaucor. J’ai passé toute mon enfance aux Comores, lieu où j’ai développé ma passion pour la science du bien-être et de la beauté. Arrivée au Caire à l’âge de 20 ans, j’ai obtenu mon diplôme d’esthéticienne en 2001. Neuf ans plus tard, je suis devenue la pionnière dans le secteur de l’esthétique BIO made in Comores et j’ai ouvert mon premier institut: Maison BEAUCOR. Précurseure dans le domaine, j’ai donc ouvert les portes de l’esthétique BIO en créant moi-même mes propres soins, inspirés des rituels de beauté ancestraux de la femme africaine et particulièrement comorienne. Je travaille au développement de différentes techniques dédiées à la beauté de la femme et particulièrement celles des îles de la lune.

Quelle est la philosophie de la Maison Beaucor ?

Une philosophie basée sur l’acceptation de soi. Dans la communauté comorienne comme dans bien d’autres pays africains et asiatiques, la peau blanche est la plus haute distinction de la beauté. Plus le teint est clair, et plus la femme est considérée comme belle. Les femmes à la peau claire sont considérées comme plus attrayantes. Un dicton comorien dit « mwana mzuri nusu ya mali» (un bel enfant est une moitié de fortune). Le proverbe souligne de manière subtile qu’une femme a plus de chances de se marier et d’appartenir à une classe aisée (avec les avantages économiques sociaux qui en découlent) si sa peau est claire. Ce phénomène est étroitement lié à l’histoire coloniale. Cette problématique du colorisme est également présente dans la communauté noire des États-Unis. Cette «haute distinction» de la beauté pousse certaines femmes à la dépigmentation artificielle  (ensemble de procédés visant à obtenir un éclaircissement de la peau noire par l’utilisation des produits nocifs à visée cosmétique).

Lire la suite dans le Mag

L’article <b style="font-size: 23px;">KARIMA JAFFAR</b></br><span style="font-size: 15px;">Instant bien-être</span> est apparu en premier sur C'CHIC Mag.

Christian Graciel, qui êtes-vous ? Parlez-nous un peu de vous…

Je suis né au Cameroun en 1970. Ma mère m’a donné deux prénoms : Christian, mais surtout Graciel, qui se décompose en deux mots en français : “la grâce” et “le Ciel” (grâce au ciel). Ce prénom est intrinsèquement lié à ma naissance puisque, à peine venu au monde, j’ai été déclaré mort par le médecin et mon corps de nouveau né a été entreposé dans une pièce adjacente, et laissé de côté jusqu’à ce qu’un étudiant en médecine me remarqua et entrevit en moi une lueur d’espoir. Il m’a alors réanimé et c’est comme cela que je suis réellement né. Cet instant significatif et très symbolique se reflète beaucoup dans mon existence, mais aussi dans mes créations car un de mes principes clés est de redonner une nouvelle vie aux matériaux que l’on pense inutilisables. Je les réutilise, les ressuscite pour les transformer en sacs, en boîtes, en bijoux. C’est toute l’histoire de ma vie depuis ma naissance et cet événement a toujours été extrêmement inspirant.

Avant de devenir designer, vous étiez danseur. Vous semblez être quelqu’un de très artistique. Cependant, comment vous est venu le goût pour le design et la mode ? Quel est votre premier souvenir lié à la mode ?

Oui en effet. Durant ma jeunesse, j’ai fait beaucoup de danse classique. J’ai aussi joué au football à haut niveau. J’ai toujours eu une sensibilité artistique exacerbée mais le goût du design est venu à travers ma mère qui était couturière. Elle ramenait des tissus, et c’est comme cela que j’ai commencé à assembler,
à coudre. Lorsque ma mère me ramenait des vêtements, je les démontais et les refaisais de a à z, à ma façon.

Vous êtes né et avez grandi au Cameroun, puis vous êtes parti en France pour y faire vos études et travailler. Alors dites-nous pourquoi Bali (Indonésie) ?

J’ai d’abord étudié à Paris. Ce fut difficile d’arriver seul en France et je suis passé par toutes sortes de petits boulots avant d’intégrer Esmod Paris, puis de continuer à l’école de modélisme (AICP) et enfin à la Chambre Syndicale de Haute Couture. J’ai ensuite travaillé pour des grandes marques à différents niveaux. Alors pourquoi l’Indonésie ? Ma venue en Indonésie est liée à ma rencontre avec Jérôme Abel
Seguin, un sculpteur et designer français, qui vivait à l’époque à Sumbawa. Je suis allé le rejoindre et je suis tombé sous le charme de l’Indonésie, cet archipel aux multiples facettes. À l’époque, je voyageais beaucoup entre la France et Sumbawa. Depuis, je suis la majeure partie de l’année à Bali où repose mon activité principale de designer et créateur.

Vous avez travaillé plus d’une dizaine d’années pour des marques de renom. Qu’est-ce qui vous a poussé à lancer vos propres créations ?

A Sumbawa, je passais des heures sur les plages à me promener et à me ressourcer. J’ai immédiatement été attiré par des coquillages sur la plage, des bulots magnifiques. Un jour, j’en ai ramassé un et je l’ai placé sur un de mes doigts en imaginant une bague montée avec ce coquillage. C’est alors que je me suis lancé et que j’ai commencé à créer des bagues et des bijoux à base de ces coquillages. Je voulais leur donner une seconde vie. Puis, je suis passé aux sacs avec des coquillages de plus grandes tailles. Le succès fut immédiat. Le resort Amanwana sur l’île voisine, Pulau Moyo, a commencé à vendre mes bijoux; ce fut ensuite Selfridges à Londres, puis Colette à Paris. Mes créations ont aussi été utilisées pour décorer la vitrine des magasins Hermès à Paris. J’ai également gagné le prestigieux prix ‘‘Maison et Objets en 2003’’ grâce à ces bagues.

Lire la suite dans le Mag

L’article <b style="font-size: 23px;">CHRISTIAN GRACIEL</b></br><span style="font-size: 15px;"> Quand Design Mode rime avec nature et matières nobles</span> est apparu en premier sur C'CHIC Mag.

AYES Essentielle est une marque de savons artisanaux et de produits cosmétiques naturels fait-mains lancée en septembre 2020 par Anne Emmanuelle Soumah-Yacé, une jeune Ivoirienne de 26 ans, passionnée par l’univers du bien-être.

Partager sa passion et révolutionner le marché des cosmétiques, était une évidence. Déterminée à conquérir le marché des cosmétiques naturels aussi bien en Côte d’Ivoire qu’à l’international, elle s’est longuement formée pour apprendre à formuler des crèmes et des savons. Elle a réalisé de nombreux tests avant de donner vie à sa marque. Il lui a fallu près de 1 an de travail pour transformer un rituel de beauté composé de produits naturels et sains en un projet tangible.

Le concept de la marque est d’offrir à un large public des produits naturels aux compositions et senteurs originales, tout en veillant au bien-être de sa clientèle. Elle formule et propose des soins doux, réparateurs et popularise l’usage du savon naturel, fabriqué à la main et saponifié à froid.

Lire la suite dans le Mag

L’article <b style="font-size: 23px;">AYES ESSENTIELLE</b></br><span style="font-size: 15px;"> Une marque de soins qui fait parler d’elle</span> est apparu en premier sur C'CHIC Mag.

C’CHIC Magazine est ravi d’échanger avec Noëlla COURSARIS MUSUNKA, femme captivante et résolument engagée.

Noëlla, merci de nous … Qui est Noëlla COURSARIS MUSUNKA ?

Je m’appelle Noëlla Coursaris Musunka, fondatrice et PDG de MALAIKA. Je suis philanthrope et mannequin international. Je suis aussi ambassadrice du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme. Je suis également mère de deux enfants.

MALAIKA est une association à but non lucratif fondée en 2007, qui impacte des milliers de vies en République Démocratique du Congo (RDC) en améliorant l’accès aux programmes d’éducation et de santé. C’est un écosystème qui prône le développement durable des communautés à travers quatre piliers, notamment l’école Malaika qui offre une éducation à 370 filles, le centre communautaire qui impacte plus de 5000 . . .

Vous êtes la fondatrice de MALAIKA, une organisation pour la fille créée en 2007 à Kalebuka, un village dans le sudest en RD Pouvez-vous nous en dire plus ?

Lire la suite dans le Mag

L’article <b style="font-size: 23px;">Noëlla COURSARIS MUSUNKA</b></br><span style="font-size: 15px;"> Mannequin International et Fondatrice de Malaika</span> est apparu en premier sur C'CHIC Mag.